Trois préparations de langoustines : ravioli, tartare et poêlée (Colette – Chef : Thijs Vervloet)
Langoustine du Guilvinec, Caviar Royal Belge Chlorophylle de Cresson Laitue, Beurre blanc, Perles de Citron (Sea Grill – Chef : Yves Mattagne)
Bœuf « Txogitxu, » Laitue romaine, raifort, girolles, radis (Boury – Chef : Tim Boury)
Une belle pièce de turbot de la mer du Nord rôtie, morilles fraîches, oignons nouveaux, asperges vertes de chez Vincent Taton, jus de morilles (La Durée – Chef : Angelo Rosseel)
Noix de Saint-Jacques de Dieppe, crevettes sauvages, consommé souvenir de Phuket au curry rouge (Comme Chez Soi – Chef : Lionel Rigolet)
Dès l’arrivée devant le bâtiment qui abrite The Jane on comprend que ce restaurant est vraiment hors du commun. Dans cette ancienne chapelle d’un hôpital militaire transformée par l’architecte allemand Piet Boon le chef Nick Bril prépare une cuisine inventive de haut vol. L’espace est lumineux et les vitraux colorés laissent passer une lumière presque divine sur notre grande table de bois face au chœur, faisant désormais office de cuisine. Les amuses bouche et les plats légers s’enchainent à un rythme régulier et agréable pour un spectacle de plus de quatre heures. Présentation élégante et minutieuse avec beaucoup de couleurs vives. Produits de première qualité. Peu de cuissons. Les flacons choisis et doctement présentés par le jeune sommelier Gianluca Di Taranto étaient tout aussi étonnants que les plats. Enfin, il faut noter le service efficace et souriant qui se distingue par des tenus, là encore, inhabituelles. Un très grand moment de gastronomie qui n’a pas empêché les membres du Club et leurs invités d’aller ensuite déguster quelques fromages que l’expert affineur Frederic Van Tricht leur a savamment commentés.
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